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l’abeille dans la tourmente écologique

L’abeille le rôle fondamental de l’abeille dans notre écosystème .

Nous dépendons de l’abeille dans la production de près de 40% notre alimentation et de 80% de la diversité des semences alimentaires. 
Les variétés d’abeilles mellifères ( vivant en colonie et produisant du miel ) ne représente que 5 % des abeilles pollinisatrices aux côtés de 1000 espèces d’abeilles sauvages . 
Les pollinisateurs ont une adaptation a différant type de fleur .  ( morphologie des fleurs et caractéristique des nectars ) .
Elles sont complémentaires dans l’action de pollinisation . Qualité , quantité des fruits à la récolte , 
teneur en sucre, qualité gustative…

Depuis une vingtaine d’années, la population des abeilles ne cesse de régresser.
La population des abeilles a réduit de moitié ainsi que de nombreux autres pollinisateurs .
 On nous parle du syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles.                                                                                                                       
Elles sont victime de différant facteur environnemental : climat , pollution et bio agresseur .

 Les problèmes environnementaux :

Le climat :
 Depuis une centaine d’années, le rythme d’élévation des températures s’accélère et le climat devient plus aléatoire en température et pluies . Le nectar des fleurs se fait plus rare . Ou plus tard en début de saison .

Les pollutions chimiques : 
depuis plusieurs décennies l’empoisonnement de la nature finit par avoir un impact sur l’érosion des écosystèmes . La biodiversité qui en est le moteur naturel s’ appauvrit et devient plus instable.
Les abeilles qui trouvent leur alimentation dans les fleurs sont impactées par les pesticides agricoles et autre polluent quand elles prennent aussi de l’eau .

L’appauvrissement de la bio diversité : 
Le manque de diversité sur des hectares des espèces dus aux pratiques de monoculture entraîne un affaiblissement des abeilles qui ont des difficultés à s’alimenter correctement .

L’introduction accidentelle de nouvelles espèces exotique : 
Malgré une certaine surveillance sanitaire des denrées ou produits exotiques, les chargements comportent parfois maladie ,bactérie , virus , insecte , ou graines indésirables et envahissantes pouvant entraîner des catastrophes .
Divers parasites ou prédateur de l’abeille ont été introduit accidentellement telle que le varroa, Nosémose, Loque, et depuis quelques années le frelon asiatique

En conclussion

De ses problèmes environnementaux s’ensuit une modification  profonde de la flore , de l’environnement physique
et chimique du sol et des éléments de la biosphère, 
ainsi qu’un décalage des rythmes saisonniers.

Les surfaces modifiées par l’Homme représentent plus de la moitié des terres émergées . 
L’Homme, par son action de simplification et d’artificialisation de l’environnement, a profondément affecté l’écosystème.

Pour maintenir les niches écologiques et la diversification biologique 
Pour protéger cette dynamique liée à la biodiversité il est indispensable de préserver des espaces naturelles de nature varié .
la diversité reste le meilleur moyen de résister aux variations de l’environnement .
 La capacité tampon de l’écosystème est une assurance biologique. 

La gestion différencier des espaces verts permet une succession d’états de recolonisation qui favorise la diversité . 
Il devient important de rétablir la polyculture.

Paradoxale les abeilles se porte beaucoup mieux en espaces urbain que en espace rurale .
Les traitement chimique des espaces agricole et le peu de diversité végétal leur sont néfaste . 
l’arrivé du frelon asiatique dans nos foret pose problème car il se nourrit a 60% d’abeilles vivantes .

En ville nous détruisons les nid de frelons et les pesticides  y sont peu utilisé . 
les abeilles y trouvent une bonne diversité végétale .




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